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Contrebasse

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Présentation des contrebasses



La contrebasse est un instrument à cordes frottées et pincées, se jouant debout, en orchestre ou en groupe. Il produit les sons les plus graves de l'orchestre symphonique. Se jouant tantôt avec un archet, tantôt en pinçant les cordes, il traverse l'histoire de la musique et accompagne le développement du jazz de ses origines jusqu'à nos jours. Depuis son invention à la fin du XVIème siècle, on le retrouve dans les orchestres symphoniques de la période classique à l'époque contemporaine. L'histoire de la contrebasse et de son répertoire musical est marquée par un mouvement progressif d'émancipation de l'instrument de son rôle originel d'accompagnement. On retrouve cette évolution autant dans le jazz et les musiques contemporaines que dans la musique d'orchestre. Grâce à des contrebassistes virtuoses, de Giovanni Bottesini au XIXème siècle à Gary Peacock au XXème, l'instrument s'impose par ses possibilités propres et s'adapte à un répertoire sans cesse plus ouvert qui s'est étendu jusqu'aux musiques du monde aujourd'hui.



Œuvre d'un luthier, la contrebasse impressionne par sa taille et la puissance de ses sons. Fabriquée à partir de pièces de bois massifs issus d'arbres comme l'épicéa ou l'érable, elle comporte une vaste caisse de résonnance nécessaire à la production de sons graves. Ces derniers sont produits par une vibration des cordes, qui se transmet au corps de l'instrument par le chevalet, de la même manière que sur les autres instruments à cordes tels le violon et le violoncelle. Le contrebassiste peut déployer un vaste champ de techniques de jeu tel le vibrato, le pizzicato, le trémoloou encore le slap. Le nombre et le matériau des cordes évoluent progressivement, ainsi que la taille de l'instrument qui s'est légèrement réduite pour faciliter un jeu virtuose.



Les contrebassistes se retrouvent dans la plupart des genres musicaux contemporains et classiques : de Mozart et Haydn jusqu'à Beethoven, qui figure parmi les premiers compositeurs à écrire des partitions spécifiques à la contrebasse. On trouve la contrebasse dès les prémisses du jazz à la Nouvelle-Orléans. L'instrument sera enregistré pour la première fois dans les années 1920 avec l'orchestre du Duke Ellington. L'amplification de la contrebasse sera un enjeu majeur du processus d'émancipation de l'instrument, trop souvent écrasé par le volume sonore des percussions ou du piano. Aujourd'hui, les recherches techniques et artistiques de virtuoses comme Renaud Garcia Fons, amènent la contrebasse sur des terrains musicaux nouveaux, par la réappropriation de modes de jeux issus des musiques traditionnelles orientales, mélangées avec l'héritage du jazz.



L'histoire de cet incroyable instrument



Apparue en Allemagne du Sud à la fin du XVIème siècle, la contrebasse est une évolution d'instruments précédemment utilisés au XVème siècle comme le violone ou la contrebasse de viole. L'instrument arrive en France un siècle plus tard. A l'origine, elle comporte 5 ou 6 cordes accordées soit par tierce, quartes ou quintes. Avec le temps, l'accord des cordes se fait de plus en plus en quartes. Les premières cordes étaient fabriquées en boyau de mouton. Ces dernières ont été remplacées par des cordes en métal dans les années 1930, car elles permettent d'avoir plus de tenue, c'est-à-dire d'améliorer la durée de résonance de la note jouée, ainsi qu'une meilleure précision dans l'attaque. On a cependant conservé l'usage de cordes en boyau pour jouer de la musique baroque et dans certains groupes de jazz ou de rockabilly. Parmi les musicologues, on a longtemps discuté de l'appartenance de la contrebasse à la famille des violons ou des violes de gambe, car elle présente des caractéristiques propres aux deux instruments. Le contrebassiste Paul Brun a retracé l'histoire de l'instrument dans son ouvrage de référence intitulé « Histoire des contrebasses à cordes » (éditions La Flûte de Pan, 1982). Il y présente des arguments en faveur du rattachement de la contrebasse à la même catégorie que les violons et violoncelles. Cantonnée au doublage dans les octaves les plus basses des partitions de violoncelle durant la période classique, la contrebasse s'émancipe à l'époque romantique où on commence à lui écrire ses propres notes dans la musique d'orchestre. C'est l'arrivée du jazz et des musiques actuelles qui offre aux contrebassistes l'opportunité d'explorer davantage les possibilités de leur instrument.



Sa composition



Deux artisans spécialisés fournissent au contrebassiste les outils nécessaires à sa pratique musicale : le luthiers'occupera de l'instrument en tant que tel, du façonnement des pièces de bois jusqu'à l'installation des cordes, l'archetier fabriquera quant à lui l'archet. On distingue deux types d'archets. Le premier est l'archet allemand, dont la caractéristique principale est une amplitude plus grande entre le manche et la chevelure. Le second, dit archet français, est plus étroit et moins long. Ils sont alternativement utilisés par les contrebassistes selon le mode de jeu qu'ils souhaitent adopter.



La contrebasse est constituée des parties suivantes :



  • La table : C'est la vaste pièce de bois qui recouvre l'instrument, souvent fabriquée à partir d'un bois d'épicéa, d'érable ou de sapin. L'autre extrémité de la caisse de résonnance est appelée le dos. Les deux planches seront jointes par une pièce que l'on appelle l'éclisse et qui épouse la forme de l'instrument.
  • La touche : C'est le long rectangle noir au-dessus duquel sont tendues les cordes. Elle est souvent fabriquée en bois d'ébène. Elle maintient un certain espace au-dessus de la table et rejoint le manche pour se terminer au niveau de la volute au sommet.
  • Les chevilles : Ce sont de larges pièces de métal que l'on retrouve au sommet de l'instrument et qui permettent d'ajuster la tension des cordes afin d'obtenir la note de référence de chacune. Elles servent à accorder l'instrument avant son utilisation.
  • Le chevalet : Il s'agit de la pièce en bois par laquelle passent les cordes et dont la fonction est de transmettre les vibrations sonores à la caisse de résonnance. Une fois passé le chevalet, les cordes rejoignent des tendeurs qui les attachent à une pièce appelée le cordier, en bois noir similaire à la touche et lui-même fixé à la table.
  • Les cordes : Il y a quatre à cinq cordes selon les modèles les plus classiques de contrebasse. Elles sont constituées de divers alliages de métaux ou de boyaux de mouton pour la tradition baroque. De la plus grave vers la plus aiguë, elles sont accordées aux notes suivantes : do (lorsqu'il y a cinq cordes), mi, la, ré, et sol.
  • L'archet : Qu'il soit de type allemand ou français, de forme convexe, rectiligne ou concave, il a une longueur moyenne de 67 centimètres.



Mensurations et poids



La contrebasse n'est pas aussi lourde que son volume le suggère : elle pèse entre 6 et 7 kilos. Sa taille, variant de 1,6 mètre pour les petits modèles d'apprentissage à 2 mètres, impose au musicien de se tenir debout, contrairement au violoncelle qui se joue assis. La nomenclature détaillée de l'instrument classe les différents modèles selon des catégories s'échelonnant du modèle 1/8 au modèle 4/4, chaque modèle correspondant à une taille différente, adaptée à celle du musicien et à son niveau de jeu. On utilise le même type de classement pour les autres instruments à cordes frottées comme le violon.



Techniques de jeu



La contrebasse peut se pratiquer comme un instrument à corde frottées autant que pincées. Selon la pression exercée par l'archet sur les cordes on pourra faire varier le timbre et l'intensité des sons voire même faire jouer des harmoniques. Les notes seront déterminées par la position des doigts de la main gauche sur la touche. Il n'existe aucun repère visuel pour positionner ses doigts, ce qui nécessite un apprentissage qui accorde beaucoup d'importance à l'écoute, afin de mémoriser et de reproduire les notes avec justesse. Un léger mouvement des doigts de la main gauche, appliqué de manière régulière et soignée permet de générer le vibrato : il se développe dans la période romantique, et confère aux sons un supplément de lyrisme à travers une variation mélodieuse. Sans utiliser l'archet, on peut pincer les cordes de la contrebasse, produisant ainsi un son qui se rapprochera de celui des guitares. Ce style de jeu, appelé pizzicato, est pratiqué dans l'ensemble du répertoire de l'instrument et sa maitrise est essentielle à la pratique de la contrebasse. En revenant à la main droite, les trémolos sont générés, comme avec les autres instruments à cordes frottées, par des mouvements rapides de l'archet, traditionnellement associés à la production d'une tension dramatique dans le jeu d'un orchestre. Des techniques plus modernes se développent au XXème siècle comme le slap, qui consiste à faire claquer les cordes contre le manche pour générer un son de percussion qui fait également résonner les cordes. On retrouve le slap dans les différents styles de musique jazz et dans la musique contemporaine.



Répertoire musical



1/ Dans la musique d'orchestre



Durant la période classique, des compositeurs comme Mozart et Haydn ne font que faire répéter aux contrebasses la partition des violoncelles, à l'octave inférieure. On notera l'exception de la symphonie n°31 de Haydn qui donne la parole à la contrebasse à travers un solo insolite et surprenant.



Le développement du jeu propre de la contrebasse à la période romantique s'observe dans les partitions deBeethoven. L'instrument ne cessera dès lors d'être davantage valorisé, d'abord grâce à la musique de chambre, qui laisse le contrebassiste s'exprimer et lui permet de commencer à sortir de son rôle d'accompagnement traditionnel des autres instruments. Citons à cet égard la célèbre Truite de Schubert. Au XIXème siècle, le compositeur italienGiovanni Bottesini, contrebassiste et chef d'orchestre, composera les premiers concertos pour contrebasse et piano. Il ne cessera de mettre en valeur l'instrument dans ses compositions. Il était lui-même un contrebassiste virtuose, à tel point que ses contemporains l'avaient surnommé le « Paganini de la contrebasse ». Ses œuvres couvrent un large champ de formes musicales qui s'étendent de la musique de chambre à l'opéra.



La contrebasse déploie ensuite ses possibilités dans un répertoire sans cesse plus diversifié. Du burlesque à la mélancolie, elle s'associe avec l'expression d'une large gamme de sentiments, et s'avère in fine d'une richesse égale à tous les autres instruments à cordes. Dans le « Carnaval des Animaux » de Camille Saint Saëns, la contrebasse représente l'éléphant dans une partition appuyant les sons graves qui font la force de l'instrument, avec une démarche enjouée et lourde, symbolisant avec réalisme cet animal.



2/ Son rôle dans le jazz



Le jazz se développe dès la fin du XIXème siècle dans le foyer de création musical qui se constitue à la Nouvelle-Orléans. Dès le début, on trouve des contrebasses dans les ensembles, jouant les musiques qui vont enfanter le jazz moderne : ragtimes, valses, fox-trots, quadrilles, cake-walks... etc. A cette époque la contrebasse joue principalement un rôle d'accompagnement, à l'instar du tuba dans les brass-bands de cuivres. C'est en 1928 qu'a lieu le premier enregistrement effectué avec une contrebasse amplifiée électriquement. C'est le contrebassiste Wellman Braud qui joue dans l'orchestre de Duke Ellington qui aura cet honneur, dans le morceau « Hot and Bothered ». La pratique de la contrebasse dans le jazz entraine une évolution de la taille de l'instrument qui diminuera de sorte à favoriser un jeu près du chevalet, afin d'améliorer l'expression de la virtuosité que recherchent les jazzmen.



L'avènement du jazz marque l'apparition d'une technique de jeu appelée « slap » qui consister à faire claquer les cordes contre le manche pour provoquer un son de percussion comprenant aussi un effet mélodique. Cette technique permet aux contrebassistes d'augmenter leur volume sonore, enjeu récurrent de la contrebasse trop souvent éclipsée par les autres instruments naturellement plus forts. Pops Foster (1892-1968) et Wellman Braud (1891-1966) sont des contrebassistes emblématiques des débuts du Jazz à la Nouvelle-Orléans. Ils utilisèrent abondamment la technique du « slap ». Citons aussi Jimmy Blanton, jeune contrebassiste qui entra à 21 ans dans l'orchestre de Duke Ellington. Maitre dans l'art du swing il marquera la pratique de l'instrument dans le jazz par ses rythmes novateurs et sa qualité de jeu.



Le développement de la walking bass et du bebop s'accompagne d'un gain d'espace et d'importance de la contrebasse dans les groupes de jazz, notamment grâce à des percussions qui se font progressivement plus discrètes. Le jeu des contrebassistes devient plus mélodique et se diversifie. C'est cette sonorité plus limpide qui fut la marque d'un Ray Brown (1926 – 2002) qui traversa toute l'histoire du jazz. Même s'il n'est pas possible de tous les citer, de nombreux contrebassistes permirent de faire évoluer la place de la contrebasse dans le jazz, dans un mouvement qui tend à mettre davantage en avant l'instrument.



Dès les années 1960, le développement du free jazz, fondé sur le recours à l'improvisation, permet aux contrebassistes de s'exprimer beaucoup plus librement. On se détache alors des cadres et des rythmes traditionnels, que l'on utilise selon l'inspiration du moment, chaque concert étant unique. Le free jazz provoque un éclatement stylistique du genre et enfantera de nombreuses voies et styles différents par la suite.



Le développement du jazz-rock dans les années 1970 provoque l'apparition d'un nouvel instrument que certains contrebassistes adopteront pour remplacer leur contrebasse : la guitare basse, instrument hybride, amplifié et favorisant un jeu plus rapide. La contrebasse ne disparaît pas pour autant, elle se modernise avec la construction de contrebasses électriques en fibres de carbone, offrant des possibilités nouvelles tout en gardant les techniques de jeu apprises sur l'instrument dans sa forme plus classique.



3/ Les musiques du monde



Parmi les contrebassistes contemporains, Renaud Garcia Fons explore de nombreuses techniques de jeu issues des musiques du monde, qu'il se réapproprie à la contrebasse pour créer des univers musicaux offrant des voyages métisses, évoquant les traditions moyen-orientales, asiatiques, africaines ou d'Europe de l'Est, sans que l'on puisse toujours identifier les styles, tellement l'inventivité à l'œuvre participe à la construction d'un onirisme singulier. L'artiste amène régulièrement dans son jeu des sons aigus, ce qui étonne lorsque l'on considère le répertoire classique de la contrebasse. Ses albums tels La Linea del Sur ou Navigatore évoluent à la frontière du jazz et des musiques du monde et sont célébrées pour le déploiement d'une créativité exacerbée par une pratique virtuose de la contrebasse.



4/ Les contrebassistes contemporains



Entre jazz, musique classique et contemporaine et musiques du monde, l'heure est désormais au métissage, à la maitrise de styles et techniques diverses qui seront utilisé selon l'élan créateur de chacun. Ainsi Ron Carter, qui joua avec Miles Davis, s'affirme par une parfaite maitrise de tous les rythmes issus du Jazz, et sait mettre au service de la contrebasse les techniques modernes de l'amplification. D'autres contrebassistes comme Charlie Haden qui a joué avec Ornette Coleman, emmènent la contrebasse vers l'émancipation des contraintes harmoniques traditionnelles. Quant à Gary Peacock qui accompagna la plupart des grands pianistes contemporains comme Keith Jarret, il apporte un jeu qui explore la tessiture aiguë de l'instrument, le rapprochant des instruments solistes classiques.



Apprendre et pratiquer la contrebasse



La plupart des établissements enseignant la musique possèdent leur classe de contrebasse. En France, l'enseignement se réparti entre un réseau d'écoles subventionnées par l'Etat et les collectivités territoriales, que l'on retrouve en général dans les préfectures des départements : il s'agit des Conservatoires à Rayonnement Régional, Départemental ou Communal. Les Conservatoires Supérieurs de Paris et de Lyon dépendent directement du ministère de la culture et accueillent des formations d'excellence destinées en partie à ceux qui ont l'ambition de devenir musiciens professionnels. Parallèlement, on trouvera des écoles de musiques associatives sur l'ensemble du territoire, ainsi que des écoles privées. Dans ces dernières, la contrebasse n'y est quasiment jamais enseignée, car moins connue du public et dès lors moins demandée. Beaucoup de jeunes découvrent l'instrument lors des parcours découvertes mis en place dans les établissements les proposant, ou durant leur parcours d'études musicales. On peut très bien migrer d'une pratique instrumentale à une autre durant son apprentissage de la musique, au fur et à mesure que les goûts de l'élève s'affinent.



L'International Society of Bassists est une association de contrebassistes du monde entier, composée de plus de 3000 membres et qui organisent des rencontres afin de favoriser les échanges entre les musiciens jouant de cet instrument. Afin de promouvoir la contrebasse, l'association organise des concours de pratique instrumentale, de lutherie et de composition.



Les contrebassistes peuvent se présenter au Concours International Leopold Bellan, qui récompense des jeunes musiciens virtuoses dans leur instrument depuis 1926. C'est le plus vieux concours d'arts dramatiques et musicaux en France. Les prix obtenus symbolisent le prestige et la reconnaissance du niveau d'un musicien, ce qui lui ouvre des portes pour sa carrière professionnelle. On trouve par ailleurs de nombreux concours de recrutements qui permettent à d'accéder à une place dans un orchestre professionnel ou une grande institution comme un conservatoire supérieur. On notera que les instruments comme la contrebasse, de même que le violon alto, sont assez recherchés par les orchestres car on rencontre moins de contrebassistes professionnels que de violonistes ou de pianistes dont l'instrument est davantage pratiqué.

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